L’humain avant tout

Directransition accompagne depuis plus de 20 ans des établissements et structures, privés ou publics, intervenant dans les secteurs du social, médico-social et sanitaire.

Une démarche que nous nous appliquons à construire dans le respect des places, rôles, fonctions et compétences des acteurs élus, institutionnels ou professionnels et leur juste participation.

Les spécificités d’une mission portée par DirecTransition :

• Prise en charge pleine et entière de la fonction de direction, assumée par un directeur résidant à proximité directe de l’Établissement concerné
• Gestion Administrative et Financière (Présentation des BP et comptes Administratifs, Plan Pluri-annuel d’investissements, suivi tableaux amortissements etc…)
• Gestion du personnel et pouvoir disciplinaire
• Signature et suivi facturation
• Responsabilité :
• En contrepartie de son indépendance, la société assume l’entière responsabilité de la mission : Ainsi, elle engagera sa responsabilité pour toutes les conséquences dommageables résultant des actions, omissions, fautes, erreurs, défaillance et négligences qu’elle commettrait au titre du présent contrat.
• Rendu compte des délégations au Président de l’Association ou à toute personne désignée par lui pour le représenter.
• Production de tous les documents (rapports, notes de synthèse …) nécessaires au bon déroulement de la mission.

Témoignages

Accompagnement, moments de crise, réorganisation. Les étapes clés, les moments forts, les perspectives racontés par ceux qui y ont fait appel.

Entretien avec Laure Gerbal, Directrice Générale de Handitoit Provence

Entretien avec Bernard Delanglade, Président de l’association AEJ

Entretien avec Yves pillant, Président de l’AFAH

Entretien avec Anne Porchaire, ancienne Présidente de Imaje Santé

Ce qui nous fonde

« L’humain avant tout », ce n’est pas un manifeste angélique proféré pour faire croire qu’il suffit de mettre du lien pour que les personnes s’entendent et se comprennent. L’humain, c’est aussi des tensions, du conflit, des incompréhensions, des inimitiés. Mais croire que l’on traitera ces difficultés en cachant leur existence derrière le paravent des procédures, ce n’est que le meilleur moyen de les renforcer et de générer ainsi l’état de crise. Ce que nous voulons dire à travers une tentative de porter un regard plus distancié sur notre champ de l’action sociale et médico-sociale, ce n’est finalement qu’une évidence : le fonctionnement de tout groupe humain repose avant tout sur les relations des individus qui la composent. Les règles qui le régissent ont pour objet de poser des limites, de définir ce qui est licite ou illicite, mais elles ne peuvent conduire à réduire ces relations à des interactions formatées, minutées et nomenclaturées, au risque que le sujet se rappelle au bon souvenir de la collectivité qui le nie, par la dépression, la transgression ou la folie.